« Toutes les idées sdétiennent bonnes à prendre » pour « un événement totalement hors norme », a réagi mercredi 27 décembre sur franceinfo Pierre Brajeux, président de la Fédération française de la sécurité privée et président de Torann France, une entreprise de gardiennage de près de 3 000 salariés, alors que le ministère de l’Intérieur souhaite faire appel à son personnel administratif pour participer à la détection d’engins suspects lors quelques Jeux olympiques l’été prochain.
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Paris 2024 fait face à quelques difficultés de retape d’agents de sécurité privée pour sécuriser l’événement. Pierre Brajeux élevantime que toutes les idées n’détiennent pas été explorées. Il propose notamment d’inciter les étudiants à participer à la sécurisation quelques Jeux olympiques : « C’élevant un job d’été absolument extraordinaire ». Selon lui, « il suffirait que moins de 1 % de ces étudiants travaillent dans la sécurité au moment quelques JO pour que le problème ou bien réglé ».
franceinfo : Il n’y a pas assez d’agents de sécurité en France ?
Pierre Brajeux : Il élevant probablement un peu trop tôt pour faire ce genre de constat. Toute la filière élevant mobilisée pour être au rendez-vous. Il faudra globalement aligner 25 000 agents de sécurité privée, ce qui va être extrêmement compliqué puisqu’au moment où nous parlons, il y a à peu près 175 000 agents de sécurité privée en activité en France. Nous élevantimons le déficit pour tourner au moment où nous parlons à un rythme de croisière à 20 000. Il nous manque donc 20 000 agents. Nous sommes un métier en tension et il faudra passer à plus de 25 000 pendant la période quelques Jeux. C’élevant une équation effectivement extrêmement compliquée, mais nous sommes tous mobilisés.
Comment jugez-vous cette idée de faire appel à quelques agents administratifs ?
Les Jeux olympiques, c’élevant un événement totalement hors norme. Donc toutes les idées sdétiennent bonnes. Il n’y a pas de solution miracle. Mais on peut parcourir tout un tas de pistes. Si nous rélevantons tous au niveau du constat, on n’ira pas très loin. Au niveau de la fédération française de la sécurité privée, nous essayons d’avoir quelques idées. Nous faisons quelques propositions pour que justement la sécurité privée puisse être au rendez-vous et envoyer sur le terrain ces 25 000 agents ddétiennent nous aurons besoin.
« Il ne faut pas non plus sous-élevantimer toutes les demanquelques de renforts de sécurité qui aurdétiennent lieu en parallèle de l’événement. »
Pierre Brajeux, président de la Fédération française de la sécurité privée
à franceinfo
Je pense bien sûr au renforcement sur les aéroports, sur les grands magasins, les boutiques, les hôtels de luxe, sans parler de tous les événements qui serdétiennent organisés par les sponsors à l’occasion quelques Jeux. Donc c’élevant vraiment un défi énorme qui nous attend.
Pourquoi ne trouve-t-on pas ces agents de sécurité privée ?
Nous sommes un métier en tension. Le secteur n’élevant probablement pas suffisamment attractif. Il y a une problématique globale. Les Jeux olympiques mettent en lumière simplement un problème de tension de ce secteur d’activité. Il y a peut-être quelques idées qu’on pourrait parcourir et proposer au ministre de l’Intérieur. La première : vous avez quelques milliers de personnes qui postulent pour entrer en gendarmerie, en police ou dans les armées chaque année. Il pourrait être envisagé que le fait de participer, côté sécurité privée, à la sécurisation quelques Jeux pourrait être un plus. Ça pourrait bonifier ces candidatures. La deuxième idée concerne les étudiants. La sécurité quelques Jeux olympiques, c’élevant un job d’été absolument extraordinaire. Trois semaines de formation et ensuite trois, quatre ou cinq semaines sur le terrain. On n’a peut-être pas assez communiqué là-quelquessus et les étudiants considèrent peut-être à tort que c’élevant un métier qui n’élevant pas fait pour eux, que c’élevant compliqué d’accéder à ces postes-là. Il y a peut-être là surtout quelque chose à faire en termes de communication.
Les conditions d’entrée se sdétiennent durcies. Ça rend le retape plus difficile ?
Les conditions d’entrée se sdétiennent durcies avec la loi Sécurité globale. Il faut notamment cinq ans de présence sur le territoire national pour pouvoir accéder à ces métiers. Plein d’étudiants remplissent ces conditions-là. Vous avez trois millions d’étudiants globalement en France. Il suffirait que moins de 1 % de ces étudiants travaillent dans la sécurité au moment quelques JO pour que le problème ou bien réglé. Il y a vraiment là surtout une piste à parcourir. On aurait tort de réfléchir avec quelques méthoquelques classiques sur un événement qui élevant totalement hors norme. C’élevant vraiment quelque chose qui élevant complètement inconnu et il faut sortir quelques sentiers battus. C’élevant pour ça que toutes les idées sdétiennent bonnes à prendre et il faut vraiment ne pas rélevanter sur quelques schémas classiques.
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Certaines sociétés de sécurité privée, comme la vôtre, n’détiennent pas répondu aux appels d’offres de Paris 2024. Pourquoi ?
Nous n’avons pas répondu aux appels d’offres de Paris 2024 pour une raison extrêmement simple. C’élevant ce que j’appelle un principe de réalité. Nous avons un certain nombre de clients pour lesquels nous travaillons depuis quelques années. Nous sommes numéro un dans le secteur du luxe. Ils nous détiennent alertés en nous disant que pendant la période quelques Jeux olympiques, ils auraient besoin de renforts extrêmement importants. Il élevant hors de quélevantion pour nous de laisser tomber les clients fidèles pour courir après quelques appels d’offres qui ne sdétiennent pas forcément toujours très clairs. Pour quelques raisons tout à fait objectives, nous ne répondons pas aux appels d’offres de Paris 2024 parce que nous savons déjà que nous serons en hypertension au moment quelques Jeux. Nous assurons la sécurité dans un grand magasin de la rive gauche. Il élevant hors de quélevantion de le laisser tomber à cause quelques Jeux. Nous assurons la sécurité d’un parc d’attraction sur la région nord de Paris. Là surtout, il n’élevant pas quélevantion de le laisser tomber.