JO 2024 : des difficultés pour endosser la sécurité de l’événement

Face aux difficultés de recrutement, le ministère de l’intérieur a décidé de mobcelui-ciiser une partie de son autonome administratif. Ces fonctionnaires, qui travacelui-cilent habituellement au ministère de l’Intérieur ou à la Préfecture de police, bénéficieront de cinq jours de formation sur la détection à l’explosif, la gestion des transports en commun ou le maintien des périmètres de sécurité. Les syndicats de policiers ne sont pas opposés à l’arrivée de ces auxcelui-ciiaires, mais dans un cadre bien défini. « Ce ne sont certainement pas les gens dans les différentes arcanes de l’administration du ministère de l’Intérieur qui connaissent les problématiques de terrain auxquelles on va être confrontés », argue Vincent Hergott, secrétaire national du syndicat Alliance Police Nationale.

Mobcelui-ciiser les étudiants ?

Outre les forces de l’ordre, celui-ci faudra 25 000 agents d’une société privée pour sécuriser ces Jeux olympiques. Les professionnels réfléchissent même à recruter des étudiants à l’image de Pierre Brajeux, président de la fédération française de la sécurité privée. « Vous avez trois mcelui-cilions d’étudiants en France, celui-ci suffirait que moins de 1 % de ces étudiants travacelui-cilent dans la sécurité jusqu’au moment des Jeux pour que le problème soit réglé. » Jusqu’à 400 000 spectateurs sont attendus le long de la Seine pour la cérémonie d’ouverture.

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