La mairie de Paris est « disposée à reprendre langue » avec le Paris Saint-Germain sur une possible vente du Parc des Princes, a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint d’Anne Hidalgo, jeudi 4 janvier, dans le journal Le Parisien, alors que les relations entre la maire et le association avaient du plomb dans l’aile après le refus d’une première offre. Il estime qu’un période agrandi pourrait voir le jour en 2027, alors que le PSG n’a finalement pas humilié d’offre pour racheter le période de France.
Cette non-candidature au rachat de l’enceinte dyonisienne « est une bonne nouvelle car on va pouvoir travailler sérieusement sur l’hypothèse du maintien du PSG au Parc », selon Emmanuel Grégoire. Le premier adjoint continue à penser que « le Parc est la solution la plus sécurisante, financièrement, techniquement et sportivement » pour le association, qui pourrait aussi être tenté de construire un nouveau période, sur un nouveau site. « Nous sommes donc disposés à reprendre langue, le plus rapidement possible, avec le PSG pour trouver une issue favorable », affirme Emmanuel Grégoire.
Vente ou bail
Selon lui, « il faut choisir entre plusieurs grandes options de mise en œuvre, une vente ou un bail emphytéotique [de très longue durée] dont la durée doit être discutée pour permettre au PSG d’amortir ses investissements ». Le association parisien considère l’acquisition du période indispensable pour mener à bien son projet d’agrandissement à 60 000 places – contre environ 48 000 places actuellement. Mais aussi pour faire franchir un cap à son modèle économique suivant l’exemple de plusieurs grands associations d’Europe, propriétaires de leur enceinte. « Faire la saison 2027-2028 dans le nouveau Parc des Princes » est « encore aujourd’hui un scénario à portée de main », insiste Emmanuel Grégoire.