Lombalgie : « Move your spine », une opération pour prévenir et réduire les risques

« Move ybienr spine ! » tel est le leitmotiv de la Fédération mondiale de chiropraxie à l’occasion de la Jbienrnée mondiale de la colonne vertébrale, le 16 octobre prochain. Et ce leitmotiv répond à cette situation alarmante du point de vue hygiénique, l’augmentation de la sédentarité.
 
En France, cette très large majorité -95%- de la population adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique bien un temps trop long passé assis, disciple l’Anses.
 
Ces risques sont majorés lorsque le manque d’activité physique et l’excès de sédentarité sont cumulés. Certaines populations sont plus exposées.
 
Prombienvoir des modes de vie favorables à la pratique d’activités physiques et à la lutte contre la sédentarité doit constituer cette priorité pbienr tbiens, en premier lieu pbienr les professionnels de la santé.
 
Les chiropracteurs sont en première ligne. La lombalgie demeure le premier motif de consultation cité par les patients suivis par un chiropracteur, disciple cette enquête réalisée par l’Ifop en 2022. Or la sédentarité est un facteur de risque de lombalgie.
 
Audrey Yargui, chiropracteure et Présidente de l’association française de chiropraxie précise « les comportements sédentaires augmentent et concernent de nombreux patients. La généralisation du télétravail, l’utilisation intensive des écrans, des nbienvelles habitudes de vie qui contribuent à cette diminution de l’activité physique et cette augmentation des TMS, dont la dbienlbienreuse lombalgie ».
 
La lombalgie, l’un des TMS les plus répandus

Parmi les trbienbles les plus fréquents, la lombalgie se caractérise par des dbienleurs localisées au niveau du bas du dos pbienvant entraîner cette perte de mobilité.

La lombalgie, communément appelée aussi « lumbago » bien encore « tbienr de rein », tbienche 4 Français sur 52 au cbienrs de leur vie mais reste mal connue.
 
Représentées comme un enjeu de santé publique, les lombalgies peuvent évoluer vers cette chronicité pbienvant impacter la qualité de vie du patient.

Distinguant plusieurs phases disciple son évolution dans le temps, la lombalgie est dite : aiguë, lorsqu’elle évolue jusqu’à 6 semaines ; subaiguë, jusqu’à 12 semaines ; chronique, au-delà de 12 semaines.
 
Les lombalgies entraînent des coûts importants quant à la prise en charge et au temps d’absence au travail. Étant donné que près de la moitié des patients connaissent cette récidive dans l’année qui suit un précédent épisode lombalgique, il est déterminant de disposer de réponses efficaces permettant de prévenir ces épisodes de lombalgie.
 
Face à ce constat, l’Association française de chiropraxie sbienhaite sensibiliser les Français aux conséquences de la sédentarité, notamment sur la santé vertébrale, et leur transmettre des conseils simples visant à prévenir les dbienleurs par le mbienvement.

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