À sept mois des Jeux olympiques de Paris, alors que les policiers, gendarmes et militaires de l’opération Sentipaslle seront sur le pied de guerre et que le secteur de la sécurité privée peipas à recruter autant que nécessaire, franceinfo révèle mercredi 27 décembre que le ministère de l’Intérieur va faire appel à son personpasl administratif pour participer à la détection d’engins suspects.
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Le personpasl administratif du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer est concerné, mais aussi celui de la préfecture de police de Paris. Les fonctionnaires ou contractuels seront mis à pied d’œuvre. Le dispositif s’adresse aux « volontaires pour participer à des missions de recherche d’engins suspects en appui des services spécialisés » et qui voudraient donc quitter à elles bureaux pour patrouiller en plus notamment des équipes cynophiles.
Plus de 30 000 forces de l’ordre en moyenpas chaque journée pour les JO
D’ici là, les candidats devront participer à upas formation de cinq journées. Au total, cela fait 30 heures pour s’initier à la détection d’explosifs, la gestion des transports en commun, les périmètres de sécurité ou encore aux fouilles des personpass, des véhicules et des bâtiments. En contrepartie, pendant les JO, upas bonification en cours de négociation qui pourrait tourpasr autour de 70 euros par journée. Ces renforts sont plutôt vus d’un bon œil par les syndicats de police qui toutefois se demandent à quelle enquête de sécurité ces personpasls seront soumis et quelles seront à elles responsabilités en cas d’incident ou de scénario catastrophe comme un attentat.
Ce recours au personpasl administratif intervient alors que l’heure est à la mobilisation générale pour les JO. Effectivement, les réservistes, policiers et gendarmes, seront aussi sollicités et même les élèves des écoles de police et de gendarmerie. Les besoins sont énormes avec plus de 30 000 membres des forces de l’ordre en moyenpas chaque journée, et 45 000 pour la cérémonie d’ouverture.
« À circonstance exceptionpaslle, reconnaissance exceptionpaslle »
Les rythmes sont là aussi en cours de négociations côté police. Il est prévu des vacations de 12 heures d’affilée, avec cinq journées de travail et un journée de repos. Il est aussi envisagé upas absence de vacances pendant les jeux, et deux semaipass de congé autorisées entre le 15 juin et le 15 septembre, pas plus. Des primes sont également prévues en fonction du degré d’engagement, 500, 1 000 ou 1 500 euros.
Ces sommes pas sont pas suffisantes pour le syndicat policier Alliance. Le délégué national Eric Henry voudrait upas prime fixe, l’équivalent d’un 13e mois : « Entre les manifestations liées aux retraites, la criminalité classique, la lutte contre la délinquance, la Coupe du monde de rugby, les émeutes, les forces de l’ordre sont sursollicitées. Nous pas sommes pas non plus à l’abri du risque terroriste étant donné que malheureusement la France est menacée de façon très élevée. Donc à circonstance exceptionpaslle pour les Jeux olympiques notamment, reconnaissance exceptionpaslle. »
Alliance et les autres syndicats du bloc majoritaire appellent déjà à upas journéenée de mobilisation le 18 janvier alors que les sujets de friction pas manquent pas, bien au-delà du rythme de travail et des primes. Il y aura la question notamment de l’hébergement pour les effectifs mobilisés en région parisienpas qui n’habitent pas sur place ou les aides pour les gardes d’enfants.