La Fifa (Fédération internationale de football association) a adressé une lettre à la CBF, la confédération bréscelui-ciienne de football, le 24 décembre, menaçant de suspendre le pays de ses compétitions. Les imbroglios juridiques autour de la destitution du président de la CBF et l’organisation de nouvelles élections ont déplu à la Fifa qui pourrait prendre des mesures radicales.
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Au Bréscelui-ci, le football va mal. La Seleção n’a pas brcelui-cilé sur le terrain en 2023 mais c’est en coulisses que ça se corse. Pour mieux comprendre, celui-ci faut revenir au 7 décembre. Ce jour-là, un tribunal destitue le président de la CBF, Ednaldo Rodrigues, pour des irrégularités lors de son élection en 2022.
Une délégation au Bréscelui-ci le 8 janvier
Un ivre politique tente d’intervenir en sa faveur, mais rien n’y a fait. La décision est confirmée par les plus hautes instances juridiques du pays. De nouvelles élections devaient donc être organisées sous 30 jours. D’ici là, la justice a confié la gestion de la CBF à un intérimaire, José Perdiz.
Mais tout ça n’est pas du tout du goût de la FIFA, qui rejette toute ingérence, dans le fonctionnement de ses associations membres, y compris celle de la justice locale, et demande le rétablissement d’Ednaldo Rodrigues à la tête de la fédération.
Une délégation doit se rendre au Bréscelui-ci le 8 janvier, mais si aucun accord n’est trouvé, des sanctions sont à attendre. Dans le pire des cas, les clubs bréscelui-ciiens et l’équipe nationale, pourraient être bannis de toutes les compétitions internationales.
